Emploi – Les jeunes Coréens ne sont pas biens. Ce n’est bien évidemment pas une donnée que l’on constate dans la rue en se baladant dans les quartiers étrangers. Mais c’est un fait économique, une réalité qui frappe doucement mais sûrement l’économie locale et l’avenir du pays. L’indice du sentiment de consommation, qui mesure l’optimisme et le pessimisme des Coréens en termes de consommation domestique dans la vie courante, a atteint un niveau extrêmement bas chez les moins de 30 ans. Selon une enquête de la banque centrale
Société – Les jeunes coréens engagés pour près de deux ans de service militaire ont parfois la malchance d’atterrir dans des zones « à risque », comprenez par-là la zone démilitarisée à la frontière entre la Corée du Sud et la Corée du Nord. Qu’il soit d’ailleurs officiers, commandants ou simples engagés, ils sont rapidement rongés par l’ennui dès qu’ils ont un peu de temps libre. C’est en tout état de cause le cas du côté de Yongjugol, à proximité de Paju, perdu dans les montagnes au Nord de Séoul. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce petit village au Sud de la montagne Myeonghaksan a la particularité de compter pas moins de 70 lupanars, 10 le jour et une soixantaine la nuit. Un
Internet – La Corée du Sud est le pays de l’Internet. Avec le plus haut taux de pénétration, la 12e économie mondiale impressionne et planche déjà sur des tests de connexion à 1 gigabit par seconde, probablement disponible pour les foyers qui le souhaitent d’ici la fin d’année. Mais avant de se lancer dans le Gbps et le téléchargement de films en quelques secondes, la Corée s’attache à maintenir son taux de connexion à
Chaebol - Dans les chaebols (grands conglomérats familiaux coréens), il faut toujours faire honneur à la famille. Lee Kun-Hee, homme le plus puissant de Corée du Sud, pourrait bien ne pas couper à cette règle afin de ne pas entacher l’image de son groupe, Samsung. En effet, son grand frère, Lee Maeng-Hee (81), père du patron de CJ Group Lee Jay-Hun, ne serait pas satisfait de la répartition en 1987 de
Corée du Nord – Étrange. C’est un peu le premier sentiment ressenti lorsqu’on lit les neuf questions envoyées hier par Pyongyang aux autorités sud-coréennes. Pour mettre un coup de fouet (positif ou négatif) à la diplomatie nord-sud, la Corée du Nord nous avait habitués à d’autres moyens de communication (essai nucléaire, réouverture des relations commerciales, test de missiles en mer, etc.). Cette fois-ci, le test du questionnaire pour voir si la Corée du Sud est
Corée du Nord – Quand Ahn Cheol-Soo (ci-dessous), ponte du logiciel et de la protection informatique, récemment lancé en politique, et soit dit en passant pas loin d’être la personnalité la plus influente de Corée du Sud depuis l’été 2011 et son appui au futur-maire de Séoul, décide de donner son opinion sur un sujet qu’il n’a pas l’habitude d’aborder, il attire toute l’attention des médias. Il faut dire qu’il a un discours hors-norme, loin des
Loisirs – En plus de ne plus pouvoir jouer la nuit (interdiction pour les moins de 18 ans de jouer entre minuit et 6 heures), les jeunes Coréens voient planer une nouvelle menace au-dessus de leur tête : une interdiction d’enchaîner plus de deux heures devant un jeu vidéo ou de jouer plus de trois heures de manière quotidienne. Cette menace émane tout droit du ministère de l’éducation, des sciences et des technologies, qui ne se satisfait apparemment pas du couvre-feu imposé par le ministère de la culture (surnommée la « Loi de Cendrillon »). Une
